Quelques infos...
Titre original : 그 겨울, 바람이 분다 (Geu Gyeowool, Barami Boonda)
Thème : Arnaque, Manipulation, Romance
Genre : Drame, Romance
Nombre d'épisodes : 16
Durée d'un épisode : 65 minutes
Année de diffusion : 2013
Mois de visionnage : Janvier 2018
Thème : Arnaque, Manipulation, Romance
Genre : Drame, Romance
Nombre d'épisodes : 16
Durée d'un épisode : 65 minutes
Année de diffusion : 2013
Mois de visionnage : Janvier 2018
L'histoire...
Après avoir perdu son père et été séparée de sa mère et de son frère aîné, Oh Young ne croit plus en l'humain. Elle est aveugle et ignore à qui accorder sa confiance.
Unique héritière d'une entreprise dont dépend sa survie, elle fait la rencontre d'Oh Soo, un homme ayant perdu son premier amour et dont le seul but dans la vie est de se rapprocher de femmes aisées afin de leur soutirer de l'argent. Ce dernier voyant en Oh Young une cible facile, il s'introduit dans sa vie en se faisant passer pour le frère aîné que celle-ci a perdu plusieurs années auparavant.
Oh Young deviendra-t-elle la nouvelle victime de Oh Soo ?
Oh Soo mènera-t-il ses plans à leur terme ou y mettra-t-il fin face à ses sentiments naissant envers Oh Young ?
Unique héritière d'une entreprise dont dépend sa survie, elle fait la rencontre d'Oh Soo, un homme ayant perdu son premier amour et dont le seul but dans la vie est de se rapprocher de femmes aisées afin de leur soutirer de l'argent. Ce dernier voyant en Oh Young une cible facile, il s'introduit dans sa vie en se faisant passer pour le frère aîné que celle-ci a perdu plusieurs années auparavant.
Oh Young deviendra-t-elle la nouvelle victime de Oh Soo ?
Oh Soo mènera-t-il ses plans à leur terme ou y mettra-t-il fin face à ses sentiments naissant envers Oh Young ?
Sensations & ressentis...
MOON
Ce drama traînait dans ma pile à voir et c’est une impulsion subite qui m’a décidée à le regarder. J’avais (depuis le temps !) envie de découvrir Song Hye-kyo dans autre chose que dans Descendants of the Sun.
Autant dire que j’ai pris une de ces claques, car il y a une chose que à laquelle je ne m’attendais pas : Jo In-sung. Pourtant, il est bien là et il a crevé l’écran et mon petit cœur avec ! Lisez la suite et vous comprendrez certainement mieux pourquoi.
Globalement, si vous vous lancez dans le visionnage de ce drama, ne vous attendez pas à une avalanche d’action. S’il y en a, la majorité de l’intrigue est surtout subtile, faite avec l’évolution des personnages au cœur d’un lot de mensonges et de manipulations.
Et s’il y a bien quelque chose que ce scénario met en place avec brio c’est justement ça : l’évolution des personnages. Bien sûr, il y a quelques têtes brûlées qui restent figées, mais la majeure partie d’entre eux grandie et mûrie sous nos yeux. C’est la force de ce projet !
Lorsque je relis mes lignes précédentes, je me dis qu’elles sont bien trop fades en comparaison du bouleversement qui a eu lieu en moi au fil des épisodes. Mais trouver les mots pour décrire un tel ressenti me semble en cet instant totalement impossible. Et je ne suis pas certaine d’y parvenir un jour.
J’ai tout aimé de A à Z, même la fin qui, au passage, m’aura fait une méga frayeur. Je ne sais pas si vous avez remarqué à quel point les scénaristes coréens semblent avoir une passion pour l’amnésie. L’amnésie qui a souvent tendance à foutre en l’air toute la beauté de leur final (pour exemple : The Innocent Man, The Legend of the Blue Sea, Meloholic souffrent pour moi de ce syndrome). Ici, j’ai bien cru qu’on fonçait droit dans le mur de cette fixette que je ne comprendrai jamais. Mais… franchement ils s’en sortent bien même si je m’étais prise à rêver de mieux.
Le principal responsable de mon coup de cœur pour ce drama (oui, je l’avoue, je suis entièrement conquise) c’est donc le personnage d’Oh Soo. À mes yeux, il est celui qui subit l’évolution la plus complète et la plus touchante. Plus habitué à survivre qu’à vivre, au contact d’Oh Young, il va devoir franchir un cap compliqué : celui de redonner le goût de la vie à quelqu’un. Mais comment faire quand cette conviction nous manque déjà ?
C’est là que pour moi la relation entre les deux est magique et unique. Surtout que souvent le remède présenté est l’amour, une carte qu’Oh Soo n’a pas la possibilité de jouer, car il est entré dans sa vie en tant que frère. Un équilibre qu’il entretiendra de son mieux, glissant parfois à la frontière malgré lui, se reprenant aussitôt avec une force et une dévotion que j’ai trouvé admirable.
Autour d’eux, est mise en place toute une symbolique de la « cloche » que je vous invite à découvrir. C’est à la fois féerique, tendre, romantique et horriblement triste tant elle prépare à ce qu’Oh Soo sait inéluctable : son départ. Mais lorsqu’Oh Young s’en mêle, avec sa petite part à elle, rentrant en symbiose totale avec Oh Soo, j’ai su qu’ils y laisseraient quelques plumes et moi avec…
Pour alléger tout ça, on a Jin-sung et son attachement à Oh Soo qu’il admire et qu’il aime comme un frère. Impulsif et plaisantin, cette petite tornade forme avec Oh Soo une bromance fusionnelle qui adoucira un peu les angles même si parfois elle sera responsable de son lot de douleur.
C’est pour moi vraiment le trio de personnages qui tire le mieux son épingle du jeu. Avec Moo- cheol peut-être. Rival d’Oh Soo depuis toujours il ne parvient pas totalement à être méchant et certains de leurs face-à-face sont magistraux.
Reste maintenant à vous parler de l’acting. L’ensemble est vraiment bon. Des secondaires, je retiens Kim Beom (Jin-sung) et Jung Eun-ji dont l’alchimie fondue dans une fausse mésentente était drôle à observer. Mais aussi Kim Tae-woo (Moo-cheol) pour les raisons évoquées plus haut et parce qu’il fallait du talent pour faire face à Jo In-sung (Oh Soo) dans certaines scènes majeures. Enfin, je n’oublie pas Bae Jong-ok, l’inaccessible tant il était difficile de voir clairement son jeu. Elle met en scène une « méchante » énigmatique dure à détester et impossible à aimer ! Remarquable.
Concernant le lead couple, comme dans Descendants of the Sun, Song Hye-kyo ne m’a pas transcendée bien qu’elle ne soit pas mauvaise pour autant. Je crois qu’elle ne fait simplement pas le poids quand elle doit rendre la réplique à des monstres. Et monstrueux c’est clairement ce qu’est Jo In-sung ! Son jeu est varié, expressif et sincère. Je m’y suis perdue ! Il est d’ailleurs le responsable de toutes les larmes que j’ai versées. Un délice, vraiment ! Du coup, je vais me plonger dans sa filmographie, voir ce qu’il a fait d’autre. Il rejoint mes coups de cœur à suivre sans hésitation.
Voici venue la fin de cet avis… Ce moment où je vais avoir l’air ridicule, car cette chronique me semble bien trop fade à côté du réel engouement que j'ai eu pour ce drama. Il ne me reste qu’à vous encourager à le voir si ce n’est pas encore fait. Une histoire de survie, mais aussi tellement plus, le premier que je pense revoir pour cet aspect. Régalez-vous du jeu de Jo In-sung, il transporte autant que l’histoire…
Quoi vous êtes encore là ?
Autant dire que j’ai pris une de ces claques, car il y a une chose que à laquelle je ne m’attendais pas : Jo In-sung. Pourtant, il est bien là et il a crevé l’écran et mon petit cœur avec ! Lisez la suite et vous comprendrez certainement mieux pourquoi.
Globalement, si vous vous lancez dans le visionnage de ce drama, ne vous attendez pas à une avalanche d’action. S’il y en a, la majorité de l’intrigue est surtout subtile, faite avec l’évolution des personnages au cœur d’un lot de mensonges et de manipulations.
Et s’il y a bien quelque chose que ce scénario met en place avec brio c’est justement ça : l’évolution des personnages. Bien sûr, il y a quelques têtes brûlées qui restent figées, mais la majeure partie d’entre eux grandie et mûrie sous nos yeux. C’est la force de ce projet !
Lorsque je relis mes lignes précédentes, je me dis qu’elles sont bien trop fades en comparaison du bouleversement qui a eu lieu en moi au fil des épisodes. Mais trouver les mots pour décrire un tel ressenti me semble en cet instant totalement impossible. Et je ne suis pas certaine d’y parvenir un jour.
J’ai tout aimé de A à Z, même la fin qui, au passage, m’aura fait une méga frayeur. Je ne sais pas si vous avez remarqué à quel point les scénaristes coréens semblent avoir une passion pour l’amnésie. L’amnésie qui a souvent tendance à foutre en l’air toute la beauté de leur final (pour exemple : The Innocent Man, The Legend of the Blue Sea, Meloholic souffrent pour moi de ce syndrome). Ici, j’ai bien cru qu’on fonçait droit dans le mur de cette fixette que je ne comprendrai jamais. Mais… franchement ils s’en sortent bien même si je m’étais prise à rêver de mieux.
Le principal responsable de mon coup de cœur pour ce drama (oui, je l’avoue, je suis entièrement conquise) c’est donc le personnage d’Oh Soo. À mes yeux, il est celui qui subit l’évolution la plus complète et la plus touchante. Plus habitué à survivre qu’à vivre, au contact d’Oh Young, il va devoir franchir un cap compliqué : celui de redonner le goût de la vie à quelqu’un. Mais comment faire quand cette conviction nous manque déjà ?
C’est là que pour moi la relation entre les deux est magique et unique. Surtout que souvent le remède présenté est l’amour, une carte qu’Oh Soo n’a pas la possibilité de jouer, car il est entré dans sa vie en tant que frère. Un équilibre qu’il entretiendra de son mieux, glissant parfois à la frontière malgré lui, se reprenant aussitôt avec une force et une dévotion que j’ai trouvé admirable.
Autour d’eux, est mise en place toute une symbolique de la « cloche » que je vous invite à découvrir. C’est à la fois féerique, tendre, romantique et horriblement triste tant elle prépare à ce qu’Oh Soo sait inéluctable : son départ. Mais lorsqu’Oh Young s’en mêle, avec sa petite part à elle, rentrant en symbiose totale avec Oh Soo, j’ai su qu’ils y laisseraient quelques plumes et moi avec…
Pour alléger tout ça, on a Jin-sung et son attachement à Oh Soo qu’il admire et qu’il aime comme un frère. Impulsif et plaisantin, cette petite tornade forme avec Oh Soo une bromance fusionnelle qui adoucira un peu les angles même si parfois elle sera responsable de son lot de douleur.
C’est pour moi vraiment le trio de personnages qui tire le mieux son épingle du jeu. Avec Moo- cheol peut-être. Rival d’Oh Soo depuis toujours il ne parvient pas totalement à être méchant et certains de leurs face-à-face sont magistraux.
Reste maintenant à vous parler de l’acting. L’ensemble est vraiment bon. Des secondaires, je retiens Kim Beom (Jin-sung) et Jung Eun-ji dont l’alchimie fondue dans une fausse mésentente était drôle à observer. Mais aussi Kim Tae-woo (Moo-cheol) pour les raisons évoquées plus haut et parce qu’il fallait du talent pour faire face à Jo In-sung (Oh Soo) dans certaines scènes majeures. Enfin, je n’oublie pas Bae Jong-ok, l’inaccessible tant il était difficile de voir clairement son jeu. Elle met en scène une « méchante » énigmatique dure à détester et impossible à aimer ! Remarquable.
Concernant le lead couple, comme dans Descendants of the Sun, Song Hye-kyo ne m’a pas transcendée bien qu’elle ne soit pas mauvaise pour autant. Je crois qu’elle ne fait simplement pas le poids quand elle doit rendre la réplique à des monstres. Et monstrueux c’est clairement ce qu’est Jo In-sung ! Son jeu est varié, expressif et sincère. Je m’y suis perdue ! Il est d’ailleurs le responsable de toutes les larmes que j’ai versées. Un délice, vraiment ! Du coup, je vais me plonger dans sa filmographie, voir ce qu’il a fait d’autre. Il rejoint mes coups de cœur à suivre sans hésitation.
Voici venue la fin de cet avis… Ce moment où je vais avoir l’air ridicule, car cette chronique me semble bien trop fade à côté du réel engouement que j'ai eu pour ce drama. Il ne me reste qu’à vous encourager à le voir si ce n’est pas encore fait. Une histoire de survie, mais aussi tellement plus, le premier que je pense revoir pour cet aspect. Régalez-vous du jeu de Jo In-sung, il transporte autant que l’histoire…
Quoi vous êtes encore là ?
