Quelques infos...
Titre original : 반지의 여왕 (Banjiui Yeowang)
Thème : Magie, Apparence, Beauté intérieure
Genre : Fantastique, Romance
Nombre d'épisodes : 6
Durée d'un épisode : 30 minutes
Année de diffusion : 2017
Mois de visionnage : Avril 2018
Thème : Magie, Apparence, Beauté intérieure
Genre : Fantastique, Romance
Nombre d'épisodes : 6
Durée d'un épisode : 30 minutes
Année de diffusion : 2017
Mois de visionnage : Avril 2018
L'histoire...
Nan-hee est loin d'être jolie ce qui l'a conduite à devenir méchante. Un jour, elle reçoit une bague renfermant un secret familial. Se-gun quant à lui est charismatique mais sans cœur.
L'anneau magique faussant entièrement sa vision des choses, Nan-hee devient alors à ses yeux, le sosie de Mi-joo, une jeune femme qu'il recherchait depuis longtemps.
Mais que se passera-t-il lorsqu'il découvrira la vérité ?
L'anneau magique faussant entièrement sa vision des choses, Nan-hee devient alors à ses yeux, le sosie de Mi-joo, une jeune femme qu'il recherchait depuis longtemps.
Mais que se passera-t-il lorsqu'il découvrira la vérité ?
Sensations & ressentis...
MOON
Et voilà enfin mon avis sur le troisième "volet" de la série Three Color Fantasy à savoir Queen of the Ring (Gold). Une petite série sur laquelle j’ai à présent un regard global et que je ne regrette absolument pas d’avoir visionnée.
Mais concentrons-nous plus particulièrement sur Queen of the Ring. Après The Universe’s Star, c’est le projet que j’ai préféré. Pourquoi ? Car si le premier met en scène l’amour de la plus belle des façons, celui-ci véhicule une magnifique morale sur la subjectivité de la beauté physique et l’importance de la beauté "intérieure". Dans une société moderne (qu’elle soit asiatique ou occidentale) où le paraître prend une place de plus en plus importante, j’ai trouvé ce drama très frais et bienvenu. Il est grand temps que le cinéma (et de nombreux autres milieux) dénonce ce règne tacite, véritable fléau (parfois meurtrier) de notre époque.
Ça, c’était pour les thèmes abordés. Niveau construction, c’est dynamique, équilibré et ça pousse le spectateur à osciller entre rire, tristesse et émotion. Une alternance qui captive et qui rythme un visionnage qui passe en un éclair.
Les personnages de leur côté qu’ils soient secondaires ou principaux servent à l’histoire qu’ils soutiennent de façon positive ou négative sur le message de fond. J’en retiens trois, deux principaux (Nan-hee et Se-gun) et un secondaire (Tae-hyon).
Nan-hee, notre héroïne "moche", est une vraie bouffée d’air frais. J’ai souffert pour elle un bon moment tant j’ai eu peur qu’elle n’accède pas au vrai bonheur (heureusement qu’ici, la morale n’était pas gâchée comme j’ai trouvé qu’elle l’avait été dans Oh My Venus par exemple). Très attachante, elle est un de mes personnages préférés du drama.
Se-gun, notre lead, démarrait mal. Tout de suite présenté comme LE mec qui sélectionne les filles en fonction de leur physique, ça m’a placée sur la défensive. Pourtant, bien que sa réputation soit justifiée, j’ai apprécié qu’il parvienne malgré tout à être sympathique avec Nan-hee. Au-delà de ça, il est celui qui subit la plus grosse évolution, véhiculant la morale à travers ses changements. C’est ce qui aura fait que finalement, il m’a plu.
Et si j’ai noté Tae-hyon, c’est parce que j’ai aimé sa présence protectrice autour de l’héroïne. J’ai été triste pour lui quand la "femme de sa vie" lui a filé entre les doigts même si une autre fin n’aurait pas pu être possible ! Désolée Loulou !
Côté acting, on tient la route, ce n’est pas non plus extraordinaire, mais personne n’est mauvais !
J’ai retrouvé Yoon So-hee (Meloholic/One More Time) et Kim Min-young (You’re Beautiful/Uncontrollably Fond/Goblin). La première n’a pas réussi à s’attirer un fort intérêt de ma part alors que la seconde (toujours dans des rôles secondaires) c’est toujours un plaisir de la croiser.
De ce projet, c’est surtout la découverte d’Ahn Hyo-seop qui ressort. Il a su transmettre de nombreuses émotions au travers de son personnage de Se-gun, ce que j’ai énormément apprécié, me découvrant très réceptive à son jeu. En faisant quelques recherches, j’ai découvert qu’il avait décroché un rôle plus conséquent dans un drama à venir avec Song Jae-rim. Je me ferais donc un plaisir de renouer avec lui !
Pour terminer cette chronique, Queen of the Ring est à voir pour sa morale dénonciatrice. Rien que ça vaut le coup. Le reste, bonus ! Foncez !
Mais concentrons-nous plus particulièrement sur Queen of the Ring. Après The Universe’s Star, c’est le projet que j’ai préféré. Pourquoi ? Car si le premier met en scène l’amour de la plus belle des façons, celui-ci véhicule une magnifique morale sur la subjectivité de la beauté physique et l’importance de la beauté "intérieure". Dans une société moderne (qu’elle soit asiatique ou occidentale) où le paraître prend une place de plus en plus importante, j’ai trouvé ce drama très frais et bienvenu. Il est grand temps que le cinéma (et de nombreux autres milieux) dénonce ce règne tacite, véritable fléau (parfois meurtrier) de notre époque.
Ça, c’était pour les thèmes abordés. Niveau construction, c’est dynamique, équilibré et ça pousse le spectateur à osciller entre rire, tristesse et émotion. Une alternance qui captive et qui rythme un visionnage qui passe en un éclair.
Les personnages de leur côté qu’ils soient secondaires ou principaux servent à l’histoire qu’ils soutiennent de façon positive ou négative sur le message de fond. J’en retiens trois, deux principaux (Nan-hee et Se-gun) et un secondaire (Tae-hyon).
Nan-hee, notre héroïne "moche", est une vraie bouffée d’air frais. J’ai souffert pour elle un bon moment tant j’ai eu peur qu’elle n’accède pas au vrai bonheur (heureusement qu’ici, la morale n’était pas gâchée comme j’ai trouvé qu’elle l’avait été dans Oh My Venus par exemple). Très attachante, elle est un de mes personnages préférés du drama.
Se-gun, notre lead, démarrait mal. Tout de suite présenté comme LE mec qui sélectionne les filles en fonction de leur physique, ça m’a placée sur la défensive. Pourtant, bien que sa réputation soit justifiée, j’ai apprécié qu’il parvienne malgré tout à être sympathique avec Nan-hee. Au-delà de ça, il est celui qui subit la plus grosse évolution, véhiculant la morale à travers ses changements. C’est ce qui aura fait que finalement, il m’a plu.
Et si j’ai noté Tae-hyon, c’est parce que j’ai aimé sa présence protectrice autour de l’héroïne. J’ai été triste pour lui quand la "femme de sa vie" lui a filé entre les doigts même si une autre fin n’aurait pas pu être possible ! Désolée Loulou !
Côté acting, on tient la route, ce n’est pas non plus extraordinaire, mais personne n’est mauvais !
J’ai retrouvé Yoon So-hee (Meloholic/One More Time) et Kim Min-young (You’re Beautiful/Uncontrollably Fond/Goblin). La première n’a pas réussi à s’attirer un fort intérêt de ma part alors que la seconde (toujours dans des rôles secondaires) c’est toujours un plaisir de la croiser.
De ce projet, c’est surtout la découverte d’Ahn Hyo-seop qui ressort. Il a su transmettre de nombreuses émotions au travers de son personnage de Se-gun, ce que j’ai énormément apprécié, me découvrant très réceptive à son jeu. En faisant quelques recherches, j’ai découvert qu’il avait décroché un rôle plus conséquent dans un drama à venir avec Song Jae-rim. Je me ferais donc un plaisir de renouer avec lui !
Pour terminer cette chronique, Queen of the Ring est à voir pour sa morale dénonciatrice. Rien que ça vaut le coup. Le reste, bonus ! Foncez !
