Quelques infos...
Titre original : 쓸쓸하고 찬란하神-도깨비 (Sseulsseulhago Chalranhashin-Dokkaebi)
Thème : Sens de la vie, Mort, Sentiments, Amitié, Romance
Genre : Fantastique, Romance
Nombre d'épisodes : 16
Durée d'un épisode : 70 minutes
Année de diffusion : 2016/2017
Mois de visionnage : Janvier/Février 2018
Thème : Sens de la vie, Mort, Sentiments, Amitié, Romance
Genre : Fantastique, Romance
Nombre d'épisodes : 16
Durée d'un épisode : 70 minutes
Année de diffusion : 2016/2017
Mois de visionnage : Janvier/Février 2018
L'histoire...
Kim Shin est un guerrier invincible et un général assigné de l'ancien royaume. Cependant, son destin est menacé dès lors que sa renommée fait de l'ombre au jeune roi. Jaloux, ce dernier le bannit alors hors du royaume. Mais Kim Shin désobéit et revient au palais, ce qui le conduit à être condamné à mort.
Transpercé par sa propre lame, il obtient miraculeusement une seconde chance de vivre.
Cependant, il comprend vite que c'est en réalité une malédiction et que seule une mystérieuse femme, connue comme la Fiancée du Goblin, peu l'en délivrer. Commence alors sa quête...
Transpercé par sa propre lame, il obtient miraculeusement une seconde chance de vivre.
Cependant, il comprend vite que c'est en réalité une malédiction et que seule une mystérieuse femme, connue comme la Fiancée du Goblin, peu l'en délivrer. Commence alors sa quête...
Sensations & ressentis...
MOON
Me voilà avec ma chronique de Goblin. J’avais hésité à me lancer dans ce drama car il est l’un des plus populaires (pour ne pas dire le plus populaire) de 2016/2017. J’en avais vu passer beaucoup sur lui et cette tendance me fait toujours un peu peur, car elle provoque souvent anticipation suivie d’une inévitable déception. M’enfin, je me suis lancée.
Puisque que j’en parle, l’inévitable (qui porte si bien son nom) s’est justement produit… Dès le début et jusqu’à sa fin, j’ai trouvé que le drama souffrait d’un immense souci de rythme, d’une totale absence de dynamisme. Cela étant, je crois (qu’après Cheese in the Trap) il est devenu celui que j’ai regardé le plus lentement. Je voulais savoir, car l’univers est très intrigant et plutôt bien amené, mais je repoussais sans cesse l’épisode suivant, appréhendant l’ennui.
Il est vraiment dommage que la nature fantastique du gobelin et du faucheur n’amène pas à plus d’action, de conflits à base de vraies et tempétueuses démonstrations de pouvoir ou encore que le véritable antagoniste se montre si tard et parte presque trop vite, sans, encore une fois, offrir de beaux combats.
Oui, c’est dommage, car au milieu de cette longueur lassante, le scénario se défend bien avec son fil rouge regorgeant de nombreuses surprises et de multiples virages. Cela forçait à régulièrement tout assimiler d’une nouvelle façon. C’était appréciable, surtout couplé à des lignes magnifiques, presque poétiques.
Parfois (il est regrettable que cela se raréfie plus on avance dans les épisodes), on nous posait une petite cerise sur le gâteau au travers d’un échange majestueux entre gobelin/faucheur et le petit Deok-hwa. C’était à mourir de rire ! La quête de ces instants est l’une des raisons qui m’ont poussée à finir.
Il me faut aussi reconnaître que les thèmes abordés sur le sens profond de la vie, de la mort, de l’amour, de l’amitié et du pardon sont très touchants et m’ont beaucoup fait réfléchir. C’était intense, un peu perturbant aussi, mais un point fort à accorder à ce drama.
Niveau des personnages, je l’ai dit un peu plus haut, mais j’ai aimé Kim Shin (le gobelin), notre faucheur sans nom et le petit Deok-hwa. Surtout dès lors qu’ils étaient ensemble, car ça devenait mordant et (souvent) délirant !
D'ailleurs, la bromance gobelin/faucheur est une vraie bombe. Construite sur fond de rivalité, elle offre des dialogues tantôt improbables tantôt poignants. C’est la seconde raison qui m’a conduite à la fin.
Malgré tout, les choix faits du côté du jeu des acteurs m’ont refroidie. Les deux acteurs principaux, à savoir Gong Yoo (notre gobelin) et Lee Dong-wook (notre faucheur), porteurs du drama selon moi, étaient souvent trop coincés, presque figés. Plus d’expressivité m’aurait fait plaisir. Je me suis noté de les voir dans d’autres rôles, car je pense que cela vient des personnages, qu’ils ont bien plus de potentiel que ça. À confirmer.
Pour Kim Go-eun (Ji Eun-tak, le personnage féminin majeur) j’ai eu exactement le même problème que dans Cheese in the Trap. Personnage et interprétation n’ont pas su me convaincre. Je la trouve « nunuche », c’est dommage…
A contrario, si le drama me laisse grandement mitigée, il y a une chose dans laquelle il fait un sans faute : sa bande-son. Une tuerie ! À découvrir absolument ! Vous trouverez mes titres favoris sur la page OST.
Pour conclure, le bon de ce drama se retrouve totalement noyé dans un manque de punch évident au-dessus duquel je n’ai pas pu passer. Je ne peux pas le conseiller, mais je ne peux pas non plus le déconseiller à cause de son potentiel excellent, mais mal exploité. Survolez-le au moins, pour croiser OST et le trio masculin qui en valent le détour.
Puisque que j’en parle, l’inévitable (qui porte si bien son nom) s’est justement produit… Dès le début et jusqu’à sa fin, j’ai trouvé que le drama souffrait d’un immense souci de rythme, d’une totale absence de dynamisme. Cela étant, je crois (qu’après Cheese in the Trap) il est devenu celui que j’ai regardé le plus lentement. Je voulais savoir, car l’univers est très intrigant et plutôt bien amené, mais je repoussais sans cesse l’épisode suivant, appréhendant l’ennui.
Il est vraiment dommage que la nature fantastique du gobelin et du faucheur n’amène pas à plus d’action, de conflits à base de vraies et tempétueuses démonstrations de pouvoir ou encore que le véritable antagoniste se montre si tard et parte presque trop vite, sans, encore une fois, offrir de beaux combats.
Oui, c’est dommage, car au milieu de cette longueur lassante, le scénario se défend bien avec son fil rouge regorgeant de nombreuses surprises et de multiples virages. Cela forçait à régulièrement tout assimiler d’une nouvelle façon. C’était appréciable, surtout couplé à des lignes magnifiques, presque poétiques.
Parfois (il est regrettable que cela se raréfie plus on avance dans les épisodes), on nous posait une petite cerise sur le gâteau au travers d’un échange majestueux entre gobelin/faucheur et le petit Deok-hwa. C’était à mourir de rire ! La quête de ces instants est l’une des raisons qui m’ont poussée à finir.
Il me faut aussi reconnaître que les thèmes abordés sur le sens profond de la vie, de la mort, de l’amour, de l’amitié et du pardon sont très touchants et m’ont beaucoup fait réfléchir. C’était intense, un peu perturbant aussi, mais un point fort à accorder à ce drama.
Niveau des personnages, je l’ai dit un peu plus haut, mais j’ai aimé Kim Shin (le gobelin), notre faucheur sans nom et le petit Deok-hwa. Surtout dès lors qu’ils étaient ensemble, car ça devenait mordant et (souvent) délirant !
D'ailleurs, la bromance gobelin/faucheur est une vraie bombe. Construite sur fond de rivalité, elle offre des dialogues tantôt improbables tantôt poignants. C’est la seconde raison qui m’a conduite à la fin.
Malgré tout, les choix faits du côté du jeu des acteurs m’ont refroidie. Les deux acteurs principaux, à savoir Gong Yoo (notre gobelin) et Lee Dong-wook (notre faucheur), porteurs du drama selon moi, étaient souvent trop coincés, presque figés. Plus d’expressivité m’aurait fait plaisir. Je me suis noté de les voir dans d’autres rôles, car je pense que cela vient des personnages, qu’ils ont bien plus de potentiel que ça. À confirmer.
Pour Kim Go-eun (Ji Eun-tak, le personnage féminin majeur) j’ai eu exactement le même problème que dans Cheese in the Trap. Personnage et interprétation n’ont pas su me convaincre. Je la trouve « nunuche », c’est dommage…
A contrario, si le drama me laisse grandement mitigée, il y a une chose dans laquelle il fait un sans faute : sa bande-son. Une tuerie ! À découvrir absolument ! Vous trouverez mes titres favoris sur la page OST.
Pour conclure, le bon de ce drama se retrouve totalement noyé dans un manque de punch évident au-dessus duquel je n’ai pas pu passer. Je ne peux pas le conseiller, mais je ne peux pas non plus le déconseiller à cause de son potentiel excellent, mais mal exploité. Survolez-le au moins, pour croiser OST et le trio masculin qui en valent le détour.
