Quelques infos...
Titre original : 블랙 (Beulraek)
Thème : Meurtre, Enquête, Mort
Genre : Thriller, Fantastique, Romance
Nombre d'épisodes : 18
Durée d'un épisode : 70 minutes
Année de diffusion : 2017
Mois de visionnage : Avril 2018
Thème : Meurtre, Enquête, Mort
Genre : Thriller, Fantastique, Romance
Nombre d'épisodes : 18
Durée d'un épisode : 70 minutes
Année de diffusion : 2017
Mois de visionnage : Avril 2018
L'histoire...
Black est un faucheur prenant possession d'un détective, Han Moo-gang, travaillant dans l'unité des crimes violents. Il s'associe à Kang Ha-ram, une femme dotée de la capacité de voir les ombres annonçant la mort. Ensemble, ils font tout ce qui est en leur pouvoir pour sauver des vies, même si cela va à l'encontre des règles du paradis.
Sensations & ressentis...
MOON
Nouveau visionnage, nouvelle chronique. Je viens donc de finir Black.
Black, Black, Black... ou ce drama que j'ai repoussé pendant des mois juste parce que je fais une allergie chronique au jeu d’interprétation de Go Ara.
Pourtant, parce que je suis contre les préjugés, j’ai fini par me lancer. Bazar (je suis polie, y'a peut-être quelques enfants qui traînent !) qu'est-ce que je m'en serais voulu de louper ça à cause d'elle !
Go ! Passée cette petite introduction, je me lance (à chaud puisque j’ai vu le final il y a moins d’une heure au moment où je vous écris ces mots) dans mon retour.
Fatalement (comme dans Hwarang où je l’avais découverte) la demoiselle m'a collé des boutons. Cependant, y’avait du mieux et j'ai failli l'étrangler que deux ou trois fois... par épisode. Un début d'immunisation peut-être ? Ne rêvons pas trop...
Au-delà de ça, ce drama est vraiment bon. Il m'a juste manqué un petit je-ne-sais-quoi pour qu'il devienne un coup de cœur, mais il m'a tout de même fait passer un très bon moment.
Sa trame n'a aucun temps mort ! Et quand je dis aucun, c'est vraiment aucun ! Car même dans l'épisode final, quand tu crois que tu vas (enfin) pouvoir respirer, ça secoue. C'est son gros gros point fort puisque, finalement, quand tu embarques, l'intrigue te prend par la main et te balade au fil des épisodes, rebondissant à chaque fois que tu crois en voir le bout. Je n’ai pas arrêté de supposer, de me questionner et d’être contredite. Un vrai plaisir que d’être autant sollicitée niveau réflexion, même si c’était parallèlement méga frustrant de presque toujours avoir tort !
D’ailleurs, puisqu’on parle de mes suppositions sur le fond de l’histoire, j'avais lu beaucoup de retours qui disaient que certains points restaient sombres et étaient difficiles à comprendre (même une fois le grand final atteint). Pour ma part, il ne m'a manqué aucune information lorsque le générique de fin a résonné.
Cependant, je reconnais que chaque épisode est hyper dense en information et qu'il faut vraiment être dedans (si tu penses à ta liste de courses en même temps, tu es cuit) pour ne rien rater et ne pas perdre un fil essentiel pour faire des liens un peu plus loin. Donc si vous ne l'avez pas encore vu, sachez qu'il faut avoir la tête bien en place pour l'appréhender à sa juste valeur.
De leur côté, la réalisation et le montage sont dynamiques et efficaces.
Ce que je retiens principalement, c'est une excellente gestion des flash-back et/ou souvenirs. Ce drama les utilise beaucoup, en travaillant avec énormément de personnages, si bien que c'était un pari très risqué. Je ne me suis pas perdue en route et j'ai adoré chercher des parallèles. En bref, un vrai régal.
Mais il n’y a pas que ça ! L’autre chose que j’ai beaucoup aimée et qui m’a frappée assez rapidement, c’est la qualité des scènes de combat. Très bien rythmées, leur chorégraphie est crédible, d’un réalisme très plaisant à l’œil. Bien sûr, on ressent parfois le côté surnaturel de Black dans leur gestion, mais c’est justement aussi ce que j’ai apprécié. Qu’on utilise à fond toutes les caractéristiques du personnage. (Même s’il m’a manqué un petit peu de "folies" comme lorsqu’il arrête net une voiture. Cet aspect présenté assez tôt aurait pu être exploité de façon plus généreuse, face à des portes ou fenêtres récalcitrantes par exemple. Je tiens probablement là, la petite étincelle qui a fait défaut et qui a retenu mon coup de cœur.)
Au centre de tout ça, on a des personnages de tous les genres.
Psychopathes, manipulateurs, mystérieux, déjantés, à frapper (vous voyez de qui je parle là ?)... Faites votre choix, tous les goûts y sont ! En contrepartie, il est difficile de s’attacher aux uns et aux autres, tant on comprend vite qu’on ne sait pas qui est tout blanc ou tout noir.
Pour ma part, voici un point sur ceux qui m’ont marquée.
En premier lieu, j'ai adoré Black. Ce personnage est l’illustration parfaite de la nuance et de l’évolution. Je me suis régalée à le suivre, à le décrypter et à le voir devenir le vrai lui. Il est capable de souffler le chaud et le froid dans la même seconde, ce qui le rend à la fois déstabilisant et attachant. Son histoire, qu’il met à jour progressivement, est déchirante. La force et les sacrifices avec lesquels il accueille la lumière sur son identité sont simplement bouleversants. J’ai pleuré pour lui et avec lui. Il est d’ailleurs au cœur de LA scène la plus mémorable du drama (à mes yeux), celle du selfie. Je vous laisse la découvrir le moment venu sans en dire plus.
Ensuite, on a Man-soo, mon petit chou à la crème. Le second lead. Un personnage qui bouge aussi beaucoup. Derrière une façade enfantine, naïve et détachée, on découvrira un homme renversant de dévouement et de courage. Je l’ai aimé pour sa douceur, pour sa présence, pour sa compréhension et pour tout ce qu’il encaisse. La façon qu’il a eue d’être en rivalité avec Black était amusante, loin des clichés gnangnan habituels. Leur évolution l’un vis-à-vis de l’autre m’a touchée. J’ai juste trouvé dommage qu’il soit moins présent dans le dernier tiers du drama.
N’oublions pas la team des zébulons, les coéquipiers flics totalement barges de Black. Une équipe de bras cassés qui n’a eu de cesse de me faire rire. Leur maladresse ne les aura pas empêchés de démontrer leur efficacité. Merci Black, non ? Je garde d’eux des souvenirs légers et souvent salvateurs. (La scène de l’hypnose mon Dieu, j’en souris encore !)
Je ne peux pas esquiver quelques mots sur l’héroïne, Ha-ram. Contradiction a elle toute seule, elle était à la fois forte et ultra geignarde... Je le regrette, car je crois que sans cette facette constante de pleurnicheuse, j’aurais pu finir par oublier son interprète et l’aimer... Bien qu’elle soit au cœur de beaucoup de choses, je ne l’ai pas trouvée marquante. Tout juste lassante avec ses plaintes continuelles. Peut-être que ses deux homologues masculins scintillaient trop, l’effaçant. Je ne vois que cette excuse.
Et pour finir, il faut que je vous parle de l’un des méchants ! Maman ! Il avait un halètement méga flippant et un regard fou... Je ne m’en suis toujours pas remise ! (Je vais prier pour ne jamais recroiser l’acteur (Woo Hyeon) après ça !)
Côté acting, par contre, j'y ai vu deux poids, deux mesures.
Si j'ai trouvé la plupart des rôles adultes bien joués, j'ai eu un peu plus de mal avec tout l'aspect "enfant" à travers les flash-back. Ça manquait d'expressivité, d'impact en somme.
Voici venir quelques uns des noms que j’ai retenus.
Song Seung-heon (Black), qui avait le rôle le plus difficile vu les nuances qu'il devait y mettre. Si j'ai eu un doute à travers Moo-gang, dès lors qu'il est devenu Black et qu'il a "grandi" à travers lui, j'ai pris une gifle tellement je l'ai trouvé époustouflant. Mais c’est surtout dans les 3-4 derniers épisodes qu’on réalise pleinement la diversité de son jeu alors que sur son visage se succèdent dans la même scène toutes les "personnalités" qu'il renferme. (Il est dur de formuler cela sans spoiler...) Je me note donc de le suivre dans d’autre de ses projets, car il a cette maturité et cette expérience qui rendent ses interprétations riches et belles comme je les aime le plus.
Kim Dong-joon (Man-soo), fondant à l'extérieur, mais mordant à l'intérieur. Bazar, en une scène de fou contre son frère, il m'avait dans la poche ! Dommage que sur la fin du drama, son personnage soit trop mis de côté. J’espère que Black annonce pour lui une présence plus grande à venir sur les écrans, car j’apprécierais de le retrouver dans d’autres rôles. Il a je pense les épaules pour supporter un lead rôle.
Kim Won-hae (Gwang-Gyun, l'un des flics) dont j'adore la façon de jouer excentrique ! Découvert dans Strong Woman Do Bong Soon, puis recroisé plusieurs fois, il ne me déçoit jamais.
Et enfin un caméo de Kim Tae-woo (That Winter, The Wind Blows/Goodbye Mr Black...) que j’ai apprécié, cet acteur m’étant très sympathique.
Et enfin, puisque je n’ai rien à dire sur les OST, que j’ai trouvé inexistants, un petit mot sur la fin. Beaucoup l'auront trouvée décevante d’après ce que j'ai lu. Pour ma part, je l'ai adoré. Ce drama a fait le choix d'aborder la romance de façon très subtile, tout en sous-entendus, même si elle est totalement assumée, mais pas mise au premier plan. Le contexte ne s'y prête pas vraiment, il faut le dire et le reconnaître.
Son final est donc à la hauteur du doigté dont il est fait preuve tout du long, exposant malgré tout et de façon fracassante un amour et une dévotion sans limites. C'est ce que j'ai compris à travers les choix de Black. Et je l'ai admiré et aimé davantage pour ça.
Pour conclure, Black est un drama à qui il n’a manqué qu’une pincée de "magie" pour gagner totalement mon cœur. J’en ressors malgré tout séduite et comblée, conseillant sans hésitation ce projet à tous les amateurs de bonnes grosses trames bien ficelées. Surtout qu’ici, les personnages et leurs interprètes valent vraiment le détour. Alors, que faites-vous encore ici ? Bon visionnage !
Black, Black, Black... ou ce drama que j'ai repoussé pendant des mois juste parce que je fais une allergie chronique au jeu d’interprétation de Go Ara.
Pourtant, parce que je suis contre les préjugés, j’ai fini par me lancer. Bazar (je suis polie, y'a peut-être quelques enfants qui traînent !) qu'est-ce que je m'en serais voulu de louper ça à cause d'elle !
Go ! Passée cette petite introduction, je me lance (à chaud puisque j’ai vu le final il y a moins d’une heure au moment où je vous écris ces mots) dans mon retour.
Fatalement (comme dans Hwarang où je l’avais découverte) la demoiselle m'a collé des boutons. Cependant, y’avait du mieux et j'ai failli l'étrangler que deux ou trois fois... par épisode. Un début d'immunisation peut-être ? Ne rêvons pas trop...
Au-delà de ça, ce drama est vraiment bon. Il m'a juste manqué un petit je-ne-sais-quoi pour qu'il devienne un coup de cœur, mais il m'a tout de même fait passer un très bon moment.
Sa trame n'a aucun temps mort ! Et quand je dis aucun, c'est vraiment aucun ! Car même dans l'épisode final, quand tu crois que tu vas (enfin) pouvoir respirer, ça secoue. C'est son gros gros point fort puisque, finalement, quand tu embarques, l'intrigue te prend par la main et te balade au fil des épisodes, rebondissant à chaque fois que tu crois en voir le bout. Je n’ai pas arrêté de supposer, de me questionner et d’être contredite. Un vrai plaisir que d’être autant sollicitée niveau réflexion, même si c’était parallèlement méga frustrant de presque toujours avoir tort !
D’ailleurs, puisqu’on parle de mes suppositions sur le fond de l’histoire, j'avais lu beaucoup de retours qui disaient que certains points restaient sombres et étaient difficiles à comprendre (même une fois le grand final atteint). Pour ma part, il ne m'a manqué aucune information lorsque le générique de fin a résonné.
Cependant, je reconnais que chaque épisode est hyper dense en information et qu'il faut vraiment être dedans (si tu penses à ta liste de courses en même temps, tu es cuit) pour ne rien rater et ne pas perdre un fil essentiel pour faire des liens un peu plus loin. Donc si vous ne l'avez pas encore vu, sachez qu'il faut avoir la tête bien en place pour l'appréhender à sa juste valeur.
De leur côté, la réalisation et le montage sont dynamiques et efficaces.
Ce que je retiens principalement, c'est une excellente gestion des flash-back et/ou souvenirs. Ce drama les utilise beaucoup, en travaillant avec énormément de personnages, si bien que c'était un pari très risqué. Je ne me suis pas perdue en route et j'ai adoré chercher des parallèles. En bref, un vrai régal.
Mais il n’y a pas que ça ! L’autre chose que j’ai beaucoup aimée et qui m’a frappée assez rapidement, c’est la qualité des scènes de combat. Très bien rythmées, leur chorégraphie est crédible, d’un réalisme très plaisant à l’œil. Bien sûr, on ressent parfois le côté surnaturel de Black dans leur gestion, mais c’est justement aussi ce que j’ai apprécié. Qu’on utilise à fond toutes les caractéristiques du personnage. (Même s’il m’a manqué un petit peu de "folies" comme lorsqu’il arrête net une voiture. Cet aspect présenté assez tôt aurait pu être exploité de façon plus généreuse, face à des portes ou fenêtres récalcitrantes par exemple. Je tiens probablement là, la petite étincelle qui a fait défaut et qui a retenu mon coup de cœur.)
Au centre de tout ça, on a des personnages de tous les genres.
Psychopathes, manipulateurs, mystérieux, déjantés, à frapper (vous voyez de qui je parle là ?)... Faites votre choix, tous les goûts y sont ! En contrepartie, il est difficile de s’attacher aux uns et aux autres, tant on comprend vite qu’on ne sait pas qui est tout blanc ou tout noir.
Pour ma part, voici un point sur ceux qui m’ont marquée.
En premier lieu, j'ai adoré Black. Ce personnage est l’illustration parfaite de la nuance et de l’évolution. Je me suis régalée à le suivre, à le décrypter et à le voir devenir le vrai lui. Il est capable de souffler le chaud et le froid dans la même seconde, ce qui le rend à la fois déstabilisant et attachant. Son histoire, qu’il met à jour progressivement, est déchirante. La force et les sacrifices avec lesquels il accueille la lumière sur son identité sont simplement bouleversants. J’ai pleuré pour lui et avec lui. Il est d’ailleurs au cœur de LA scène la plus mémorable du drama (à mes yeux), celle du selfie. Je vous laisse la découvrir le moment venu sans en dire plus.
Ensuite, on a Man-soo, mon petit chou à la crème. Le second lead. Un personnage qui bouge aussi beaucoup. Derrière une façade enfantine, naïve et détachée, on découvrira un homme renversant de dévouement et de courage. Je l’ai aimé pour sa douceur, pour sa présence, pour sa compréhension et pour tout ce qu’il encaisse. La façon qu’il a eue d’être en rivalité avec Black était amusante, loin des clichés gnangnan habituels. Leur évolution l’un vis-à-vis de l’autre m’a touchée. J’ai juste trouvé dommage qu’il soit moins présent dans le dernier tiers du drama.
N’oublions pas la team des zébulons, les coéquipiers flics totalement barges de Black. Une équipe de bras cassés qui n’a eu de cesse de me faire rire. Leur maladresse ne les aura pas empêchés de démontrer leur efficacité. Merci Black, non ? Je garde d’eux des souvenirs légers et souvent salvateurs. (La scène de l’hypnose mon Dieu, j’en souris encore !)
Je ne peux pas esquiver quelques mots sur l’héroïne, Ha-ram. Contradiction a elle toute seule, elle était à la fois forte et ultra geignarde... Je le regrette, car je crois que sans cette facette constante de pleurnicheuse, j’aurais pu finir par oublier son interprète et l’aimer... Bien qu’elle soit au cœur de beaucoup de choses, je ne l’ai pas trouvée marquante. Tout juste lassante avec ses plaintes continuelles. Peut-être que ses deux homologues masculins scintillaient trop, l’effaçant. Je ne vois que cette excuse.
Et pour finir, il faut que je vous parle de l’un des méchants ! Maman ! Il avait un halètement méga flippant et un regard fou... Je ne m’en suis toujours pas remise ! (Je vais prier pour ne jamais recroiser l’acteur (Woo Hyeon) après ça !)
Côté acting, par contre, j'y ai vu deux poids, deux mesures.
Si j'ai trouvé la plupart des rôles adultes bien joués, j'ai eu un peu plus de mal avec tout l'aspect "enfant" à travers les flash-back. Ça manquait d'expressivité, d'impact en somme.
Voici venir quelques uns des noms que j’ai retenus.
Song Seung-heon (Black), qui avait le rôle le plus difficile vu les nuances qu'il devait y mettre. Si j'ai eu un doute à travers Moo-gang, dès lors qu'il est devenu Black et qu'il a "grandi" à travers lui, j'ai pris une gifle tellement je l'ai trouvé époustouflant. Mais c’est surtout dans les 3-4 derniers épisodes qu’on réalise pleinement la diversité de son jeu alors que sur son visage se succèdent dans la même scène toutes les "personnalités" qu'il renferme. (Il est dur de formuler cela sans spoiler...) Je me note donc de le suivre dans d’autre de ses projets, car il a cette maturité et cette expérience qui rendent ses interprétations riches et belles comme je les aime le plus.
Kim Dong-joon (Man-soo), fondant à l'extérieur, mais mordant à l'intérieur. Bazar, en une scène de fou contre son frère, il m'avait dans la poche ! Dommage que sur la fin du drama, son personnage soit trop mis de côté. J’espère que Black annonce pour lui une présence plus grande à venir sur les écrans, car j’apprécierais de le retrouver dans d’autres rôles. Il a je pense les épaules pour supporter un lead rôle.
Kim Won-hae (Gwang-Gyun, l'un des flics) dont j'adore la façon de jouer excentrique ! Découvert dans Strong Woman Do Bong Soon, puis recroisé plusieurs fois, il ne me déçoit jamais.
Et enfin un caméo de Kim Tae-woo (That Winter, The Wind Blows/Goodbye Mr Black...) que j’ai apprécié, cet acteur m’étant très sympathique.
Et enfin, puisque je n’ai rien à dire sur les OST, que j’ai trouvé inexistants, un petit mot sur la fin. Beaucoup l'auront trouvée décevante d’après ce que j'ai lu. Pour ma part, je l'ai adoré. Ce drama a fait le choix d'aborder la romance de façon très subtile, tout en sous-entendus, même si elle est totalement assumée, mais pas mise au premier plan. Le contexte ne s'y prête pas vraiment, il faut le dire et le reconnaître.
Son final est donc à la hauteur du doigté dont il est fait preuve tout du long, exposant malgré tout et de façon fracassante un amour et une dévotion sans limites. C'est ce que j'ai compris à travers les choix de Black. Et je l'ai admiré et aimé davantage pour ça.
Pour conclure, Black est un drama à qui il n’a manqué qu’une pincée de "magie" pour gagner totalement mon cœur. J’en ressors malgré tout séduite et comblée, conseillant sans hésitation ce projet à tous les amateurs de bonnes grosses trames bien ficelées. Surtout qu’ici, les personnages et leurs interprètes valent vraiment le détour. Alors, que faites-vous encore ici ? Bon visionnage !
